Armes d’Hast
J’ai déjà fait des angons mérovingiens, mais pour la première fois j’ai rajouté deux frêtes, soudées et maintenues par un anneau.
Taille totale: 2mTaille tête (jusqu’à l’anneau) : 88 cmPoids: 1kg 800Prix: 250 €
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Une faux cassée trouvée en brocante, modifiée pour en faire une faux d’arme.
Taille totale: 2m32Taille lame: 58 cmPoids: 2kgPrix: 130 €
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Une forte guisarme de guerre, plus grosse que celle que j’ai faite précédemment.
Taille totale: 2m38Taille lame: 40 cmPoids: 2 kg 400Prix: 230 €
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J’ai enfin fait une hallebarde !!
J’ai privilégié un modèle de guerre robuste et non pas une hallebarde tardive et excessivement décorée. [...]Lire la suite…
Arme typique du XV ème siècle dans les régions de l’Autriche-Bohème, il s’agit là d’une forte arme propre à forcer les défenses de plate d’un harnois.
Assez encombrante, c’est entre les mains de chevaliers à pied et pour l’assaut de places fortes qu’elle prouva sa redoutable efficacité.
La rouelle est entièrement étirée à la forge à partir d’un disque de métal épais afin d’avoir pour résultat une section allant s’affinant progressivement jusqu’aux bordures assez fines pour pouvoir s’affûter au besoin.
Taille totale: 2m05Taille lame: 1mPoids: 3k800Prix: 340€
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Un nouveau type d’attrape-coquin.
Celui ci présente de longues lattes et une ouverture très évasée histoire de ne pas rater sa cible. [...]Lire la suite…
Un scram à douille inspiré de celui retrouvé à la nécropole de Dietersheim.
Vu la position de l’artefact par rapport au squelette, cette arme fut sûrement montée en hast. [...]Lire la suite…
Un grand angon à la douille fendue. Fracassant au corps à corps, d’un impact dévastateur au lancé, il reste une des armes majeur de l’époque Mérovingienne. [...]Lire la suite…
Une petite évolution de gauche à droite:
-La faux agricole remontée dans l’axe de la hampe. Un outil peu adapté aux champs de bataille. Tranchant mais fragile.
-Une première version apte au combat. Une arme forgée en tant que telle et non un outil modifié. Plus légère et robuste, elle équipera l’arrière Ban à faible coût.
– Une troisième version. Ses frètes et ses ailettes qui permettent une vraie escrime. Sa forme concave prononcée quand à elle est idéale pour emporter les membres et les têtes.
Taille moyenne: 2m20.Prix de gauche à droite: 80€, 130€, 150€Prix du lot: 330€
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Une petite lame légère montée en hast. Le croc perpendiculaire permet d’armer de puissants estocs malgré le poids plume de la tête. Il permet aussi de parer une lame adverse plus facilement qu’avec une lance classique dépourvue d’ailettes.
Parfait pour les combattants comptant plus sur leur vitesse que sur leur force ou pour les guerriers à bouclier désirant une arme plus intéressante qu’une simple lance.
Taille totale/Taille tête : 201 / 29 cmSiècles: XII-XIVèmePrix: 140€Tous nos prix sont affichés hors frais de port.
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Une toute petite « langue de bœuf », arme française très particulière. Ce modèle est une reconstitution de la plus petite que j’ai retrouvée.
Taille totale/Taille tête : 227/38 cmSiècles: XVèmePrix: 140€Tous nos prix sont affichés hors frais de port.
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Un lourd plançon à la large rouelle protégeant la main et pouvant servir à assener de violents coups.
Taille totale/Taille tête : 236/38 cmSiècles: XIII-XVèmePrix: 200€Tous nos prix sont affichés hors frais de port.
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Une grande guisarme (Bill en anglo-saxon). Véritable couteau suisse alliant estoc, croc et taillant.
Terrible arme anti-cavalerie, elle équipait en masse l’infanterie de la fin du Moyen-Âge, notamment durant la guerre de Cent Ans.
Taille totale/ taille de la tête: 229 / 59 cmSiècle: XVèmePrix: 230€Tous nos prix sont affichés hors frais de port.
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Ultime évolution des scrams à douille retrouvés aux époques Mérovingienne et Carolingienne, le couteau de brèche est souvent pourvu d’une rouelle.
Ce modèle est léger, destiné a équiper des troupes de milice urbaine combattant principalement des ennemis peu armurés. Un crochet dote le talon de la hampe.
Taille totale/ taille de la tête: 229 / 44 cmSiècle: XIV-XVèmePrix: 200€Tous nos prix sont affichés hors frais de port.
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Très prisée par l’infanterie du XVIème siècle, notamment par les troupes espagnoles, la demi-pique équipa en masse les bataillons chargés de repousser les charges de cavalerie. Dotée d’une portée dissuasive, d’une forme simple en poinçon et de clous arrimant la main à la hampe, elle permet de traverser quasiment toutes les armures hormis les plus épaisses.
Sa tête quadrangulaire, retrouvée indifféremment du VIII au XIXème siècle, lui permet de « passer » en reconstitution sur de nombreuses époques.
Taille totale / Taille tête : 247 / 34cmSiècles: VIII-XIXèmePrix: 150€Tous nos prix sont affichés hors frais de port.
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Un chandelier de fer comme disaient les Flamands. Utile pour percer, cogner et fracasser. Une arme pour délicats en quelques sorte. [...]Lire la suite…
Encore une ! La famille des Sacquebute est décidément fort vaste. D’autres viendrons sûrement. [...]Lire la suite…
C’est la plus petite source de guisarme que j’ai pu trouver. De fait, elle est terriblement rapide et tranchante. [...]Lire la suite…
De simple douilles étirées en pointes, en crochet ou encore coupées en talon plat. Très utile pour planter un étendard en terre, disposer les hast en « tipis » et même compléter un arsenal comme arme secondaire à votre hast. [...]Lire la suite…
Une serpe paysanne remontée en hast de guerre grâce à deux frètes. Un fort estoc a été soudé à chaud au dos de la lame. [...]Lire la suite…
Celle là est la copie quasi conforme du hachoir de boucher retrouvé à Parnes dans l’Oise. Je l’ai monté en arme d’hast, pour la blague disons. [...]Lire la suite…
Un couteau de brèche très léger et rapide. Sa lame triangulaire permet une rigidité et une qualité d’estoc et de taille parfaite contre un adversaire en armure légère. Sa légèreté permet quant à elle d’exploiter les faiblesses d’une armure plus lourd.
Avec assez d’entraînement, l’utilisation à une main est possible mais plus complexe. [...]Lire la suite…
Une arme très répandue dans les rangs Flamands durant les derniers siècles du moyen-âge. [...]Lire la suite…
Une guisarme petite version. Très rapide et tranchante, elle est redoutable en duel et sur le champs de bataille. [...]Lire la suite…
Une guisarme grand modèle. 75 cm de lame affûtée et pointue. De quoi faire un carnage dans les rangs adverses. [...]Lire la suite…
La reconstitution d’un rochet allemand à placer au bout de la hampe d’une lance de joute. [...]Lire la suite…
L’attrape-Coquin fut utilisé sur la toute fin du Moyen-Âge par les milices urbaines pour l’appréhension des contrevenants mais aussi, plus rarement, sur les champs de bataille.
Une fois autour du cou de la cible, il fallait une grande force ou un dispositif spécial pour s’en défaire.
Des outils de ce genre sont encore utilisés aujourd’hui, notamment pour le transfert des prisonniers dangereux.
Ce modèle est inspiré de l’attrape-coquin exposé au Higgins Armory Museum. [...]Lire la suite…
L’interprétation d’une pointe de lance utilisée à la bataille de Bouvines par l’infanterie lourde allemande qui frôla la victoire n’eut été la chevalerie française, à l’époque la meilleur d’Europe. [...]Lire la suite…
Une arme à deux mains, permettant de distribuer de redoutables chocs comme de puissants estocs.
Bien utilisée, c’est le genre d’arme capable de faire un franc ménage sur un champ de bataille.
Les deux mains étant nécessaires au maniement, les combattants utilisant ce genre d’armes étaient bien souvent protégés par de lourdes armures de plates. [...]Lire la suite…
Outil transformé servant à lever les fascines lors de l’élaboration de sapes couvertes.
Aussi utilisé par les piétons du 14 et 15ème siècle afin de désarçonner les cavaliers. [...]Lire la suite…
Une fourche utilisée par les suiveurs durant les chasses au loup.
Une des piques est en fait une lame destinée à de potentiels coups de tranche. [...]Lire la suite…
Arme datant de la fin XVeme-début XVIeme.
Son nom nous vient du canton de Lucerne en Suisse.
Cette arme particulière servit principalement aux gardes de palais et autres gardes du corps d’autorités. [...]Lire la suite…
Aussi nommé « Lance à pousser » dans nos contrées, l’Ahlspiess (littéralement » poinçon-pique ») est une arme du XIVème, probablement allemande, très utilisée en Autriche-Bohème au XVème siècle.
Peux utilisée en guerre de terrain, elle servit beaucoup lors de sièges et même lors de duels entre gentilshommes en champ-clos. [...]Lire la suite…
Les outils de paysans remontés en armes furent utilisés pour la première fois en France sur le champs de bataille de Bouvines par les milices urbaines se battant sous la bannière de St Denis dans les rang Français. Ce modèle est armé d’une fret à l’avant et d’un contrepoids clouté au talon, lui offrant un équilibre fort intéressant. [...]Lire la suite…
Une arme lourde utilisée par et contre les hommes de plates durant l’assaut des places fortes sur la fin du moyen-âge. [...]Lire la suite…
Un large épieu en damas, taillé pour la chasse et ciselé de la devise » haec inter vastas stringat venabvla silvas qvi gaudet rabidis obuius ire feris » soit « Que tire cette lance dans de vastes forêts celui qui se plaît à aller contre les bêtes féroces ».
Inspiré de la lance d’apparat de Cutry, Veme siècle. [...]Lire la suite…
Deux têtes de plançon (Goedendag Flamand) XIIIeme.
Très prisés par les milices communales de Flandre pour leur facilité de fabrication, ces modèles sont dotés d’une rouelle d’acier servant aussi bien de protection de main qu’arme contondante. [...]Lire la suite…
La reproduction d’une pic retrouvée dans le château de Prague, en République Tchèque. [...]Lire la suite…
Une grande faucille à douille montée sur manche à l’occasion de quelque Jacquerie. [...]Lire la suite…
Cette arme d’hast est destiné à capturer un adversaire en lui enserrant le cou grâce à l’anneau en forme d’oméga garni de pointes. [...]Lire la suite…
Non ceci n’est pas du médiéval fantastique mais bien une arme inspirée d’une source historique. La base est une faucille à douille, fendue a chaud en plusieurs endroits pour en faire ressortir des crochets et autres pointes. Utile en taille comme en estoc, elle reste relativement légère au maniement.
Lame en acier outil.
Manche en frêne. [...]Lire la suite…
Épieu germain du IIIe siècle. Ses ailettes et sa douille hexagonale lui apporte une petite touche originale mais tout à fait juste historiquement. Très légère et effilée, son efficacité se révèle d’elle-même dès l’arme en main.
L’échelle est donnée par une gentille volontaire de 1m70.
Lame en XC 60.
Manche en frêne. [...]Lire la suite…
Grande arme d’hast du XVème siècle, la langue de bœuf était très prisée par les combattants de seconde ligne. Elle permettait de fendre tout ennemi s’approchant, grâce à son poids conséquent et à ses terribles tranchants, mais aussi de maintenir des adversaires à distance à l’aide de sa pointe effilée.
Lame en acier ressort trempé et recuit.
Lattes en acier avec clous forgés.
Manche en frêne octogonal. [...]Lire la suite…